1 basco toulousain peut en cacher un autre

En ce mois de décembre où les températures oscillent entre grand froid sibérien et ultime prolongement de l'été indien, deux événements ont marqué la vie de Greg notre basco toulousain favori :

• Tout d'abord nous eumes droit à une visite sur chantier de Dremquel, le père de Greg. Comment reconnaître le père du fils se demande-t-on au premier abord? Les deux ont l'oeil avisé et rieur. Les deux ont la langue bien pendue. Les deux chambrent volontiers à leurs heures perdues et il faut les voir déambuler ensemble alternant entre vannes et petites moqueries père-fils. C'est ainsi que Dremquell fut baptisé en direct par Greg, hilare, parce qu'il avait mal prononcé "Dremel" (les petits outils à travailler le bois ou l'acier). Bref un bon moment avec deux générations de basco-toulousains.
• Ensuite, en cette fin de mois, il faut évidemment retenir l'événement qui a transcendé la fin du monde, à savoir la perpétuation de la branche mâle de la dynastie basco-toulousaine. La prochaine visite sur chantier pourrait, en effet, mêler, non plus deux, mais bien trois générations de basco-toulousains : je vous raconte pas l'otite!!! Tous nos voeux de bonheur à Elyo!!!

Dans la série carnet rose du côté de Toulouse, on en profite pour embrasser aussi Sarah, Olive et leur petite Lola!!!!